fbpx
514-856-6614 info@voyagefiesta.com

Agence de voyages thématique

VOYAGE À CUBA

Cuba SI !

CAYO LARGO

Pour ceux qui aiment l’intimité et la mer.

Vingt-quatre kilomètres d’excellentes plages, des fonds marins riches et intacts et une situation géographique privilégiée font de Cayo Largo del Sur un refuge de rêve.

Cayo Largo del Sur enchante dès le premier regard. Il est l’une des pièces de luxe de l’Archipel de Los Canarreos, qui borde au sud la région occidentale de Cuba.

Sur à peine 37,5 kilomètres carrés, l’îlot dispose de 24 kilomètres de plages tournées vers la mer des Caraïbes, parmi lesquelles se distinguent Sirena et Playa Blanca, ainsi que d’extraordinaires fonds marins incomparables pour la plongée et la photo sous-marine, et où il est encore possible de nos jours, dit-on, de découvrir quelque trésor enfoui car, d’après des chroniques d’époque, entre 1563 et 1784 survinrent dans la région de Los Canarreos environ 200 naufragés.

Cayo Largo del Sur possède par ailleurs de vastes espaces marécageux où abondent mangroves et raisiniers et dans lesquels on peut se livrer à l’observation des oiseaux, jouir du calme et de l’intimité que seuls ces sites privilégiés peuvent réserver.

Voies d’accès :

L’aéroport international Vilo Acuña reçoit des vols directs d’Europe et d’Amérique, ainsi que de n’importe quelle région du pays. L’îlot est par ailleurs un port libre.

Pour visiter l’îlot :

Le séjour dans ce coin reculé de l’archipel cubain offre non seulement l’occasion de découvrir ses plages et ses attraits sous-marins, ainsi que le centre d’élevage des tortues, proche de la marina, mais aussi de connaître d’autres charmants petits îlots tels que Cayo Iguana qui, en raison de la prolifération de ces sauriens inoffensifs, peut être considéré comme un mini-Jurassic Park caribéen, Cayo Cantiles et sa population de singes, Cayo Pájaros, site favori des oiseaux, et Cayo Rico, aux eaux d’un vert profond.

L’ile de la jeunesse

Corsaires et Pirates

L’Île de la Jeunesse voisine (Île des Pins), la seconde en surface de l’archipel cubain, mérite une mention à part. Elle fut jadis le refuge des corsaires et des pirates et on assure que Robert Louis Stevenson en fit le cadre de son célèbre roman L’Île au Trésor.

 Pour visiter l’Île de la Jeunesse :

Il est indispensable de découvrir le parc national marin Punta Francés, la Plage de Bibijagua, dont le sable noir est l’œuvre de l’érosion sur les roches de marbre, ainsi que la réserve naturelle San Felipe-Los Indios et les grottes de Punta del Este et leurs représentations aborigènes. Mais une visite s’impose aussi à la ferme El Abra, où résida temporairement José Martí, ainsi qu’à la Prison Modèle, où furent emprisonnés Fidel Castro et ses compagnons après les événements de la caserne Moncada, le 26 juillet 1953

 Restauration :

La plupart des offres gastronomiques et de loisirs se concentrent dans les hôtels de l’îlot. À la marina Puertosol, les restaurants Cayo Rico, Sirena et La Taberna del Pirata proposent des spécialités de la cuisine internationale et un service de bar. Tout près se trouve la Plaza del Pirata, où se déroulent les bals et les fêtes les plus fréquentés de l’île.

HAVANE CUBA

La route maritime du nouveau monde

Protégée par une longue bande côtière émaillée de belles plages et de récifs coralliens, la capitale de Cuba offre à ses hôtes les charmes d’un lieu culturel par excellence.

Considérée depuis plus de quatre siècles comme une enclave privilégiée pour les communications et le commerce, La Havane est la région touristique où tout visiteur peut satisfaire ses désirs les plus divers et les plus exigeants.

Elle occupe depuis 1519 son emplacement actuel. Sa situation géographique exceptionnelle au bord de la baie en a fait une escale obligée sur la route maritime du Nouveau Monde, ce qui a déterminé son développement ultérieur. Son noyau primaire (un bourg de 143 hectares protégé par des murailles et trois forteresses militaires) fut inscrit par l’UNESCO au registre du Patrimoine de l’Humanité en 1982, une reconnaissance qui a été étendue au système de fortifications coloniales.

La Havane est le centre de la vie culturelle de la nation, car elle est le siège de la majorité des principales institutions, compagnies, installations et on y rencontre les personnalités liées à l’activité artistique nationale. Elle accueille les plus importantes rencontres organisées par l’île dans ce domaine.

Son important littoral possède d’excellentes plages vers l’est (toutes très proches du centre de la ville), et elle est entourée d’une ceinture verte qui garantit la santé environnementale d’un endroit où tout est prévu en outre pour la tenue de réunions, congrès, foires et autres événements.

L’un des plus célèbres écrivains cubains, Alejo Carpentier, l’appelait « la ville des colonnes » et aimait attirer l’attention sur ses rues, selon lui un spectacle permanent et riche « de matière vivante, d’humanité, de contrastes, qui peuvent faire les délices de n’importe quel observateur ».

Voies d’accès:

La Havane est la principale porte d’accès de Cuba.

La grande majorité des visiteurs arrive dans l’île à travers les trois terminaux aériens de l’aéroport international José Martí et du terminal de Aerocaribbean; elle est en liaison avec plus de 40 villes dans le monde. Mais on peut aussi arriver dans la capitale par bateau. Depuis les autres régions touristiques du pays il est possible de gagner la capitale par voie aérienne ou maritime, et par route.

Pour visiter La Havane:

L’idéal est de suivre l’itinéraire tracé par l’Histoire et de pénétrer dans ce qui fut jadis la ville intra-muros, en partant du Templete, édifice néo-classique construit là où fut dite la première messe et où se réunit le premier conseil de la ville (chaque année, le 16 novembre, les Havanais célèbrent cette tradition).

Visite obligée:

Celle des Places d’Armes, de la Cathédrale, de San Francisco, et de la Plaza Vieja; du Palais des Capitaines Généraux, du Château de La Real Fuerza, l’ouvrage militaire le plus ancien de Cuba, sur la tour duquel se dresse la Giraldilla, aujourd’hui symbole de la ville.

Une promenade sur l’Avenue du Port s’impose si l’on veut découvrir deux des trésors dont s’enorgueillit l’autre rive de la baie: le Château de Los Tres Reyes del Morro, forteresse emblématique de la capitale cubaine, et le Château de San Carlos de La Cabaña, indissolublement lié à l’une des traditions avanaises les plus profondément enracinées: le coup de canon de 21 heures .

La Havane s’est étendue vers l’ouest et le sud-ouest, laissant au passage des traces à suivre: le Paseo del Prado, le monumental Capitole, le front de mer, qui offre l’un des plus beaux panoramas de la ville, la Rampa et les merveilles de son urbanisation et de son architecture, la Place de la Révolution, endroit historique, et le Mémorial José Martí, le quartier de Miramar, dont le développement immobilier et hôtelier est rapide, et la marina Hemingway -à l’extrémité ouest-, idéale pour le yachting, la pêche et la plongée sous-marine.

Aujourd’hui s’y ajoutent des sites du plus grand intérêt tels que la Place anti-impérialiste José Martí, le parc où se trouve la statue du célèbre ex-Beatles John Lennon, les monuments à la mémoire de chefs d’État latino-américains sur l’Avenida de los Presidentes, entre autres.

Vers l’est prédominent les plages, (Bacuranao, Mégano, Boca Ciega, Santa María et Guanabo) lesquelles s’allongent sur 14 kilomètres et se trouvent à quelques minutes de la ville. En route vers la mer, une halte s’impose à Cojímar, pittoresque village de pêcheurs immortalisé par Hemingway dans son roman Le vieil homme et la mer.

Pour goûter les charmes de La Havane: Les propositions culturelles abondent à La Havane, ville riche en musées, galeries d’art, théâtres et centres nocturnes, parmi lesquels se distinguent les cabarets Tropicana -connu à l’échelle internationale-, le cabaret Parisien (Hôtel Nacional de Cuba), Habana Café (Hôtel Melia Cohiba), Turquino (Hôtel Habana Libre) et Salon Rojo (Hôtel Horizontes Capri).

Ceux qui aiment le boléro disposent d’un coin spécial dans le complexe touristique Dos Gardenias, et les amateurs de jazz sont chez eux à La Zorra y El Cuervo. El Gato Tuerto offre le plaisir de partager un bon moment de chansons en compagnie des interprètes et des créateurs, tandis que le Gran Palenque a tout pour satisfaire ceux qui souhaitent connaître les plus authentiques représentants de la musique afro-cubaine. El Patio de Maria accueille les amateurs de rock cubain.

A La Havane il existe des points de vente spécialisés où le visiteur peut acheter des souvenirs en tous genres, par exemple le Palacio de la Artesanía ou la Casa de las Miniaturas, des foires près de la Place de la Cathédrale, ainsi que quelques espaces le long de la Rampa ou du front de mer.

Restauration:

Les restaurants abondent dans la ville, et un grand nombre d’entre eux jouissent d’un prestige bien mérité. Parmi ces derniers figurent la Bodeguita del Medio, mondialement connue, El Tocororo, El Patio (cuisine cubaine), le Floridita, La Terraza de Cojímar, Don Cangrejo, La Zaragozana (fruits de mer et poisson), El Aljibe (poulet), La Torre (cuisine française), Al Medina (cuisine arabe), La Torre de Marfil (cuisine cantonaise), El Cortijo (cuisine espagnole), le Gentiluomo (cuisine italienne), La Ferminia, le 1830, La Estancia et El Emperador (cuisine internationale).

HOLGUIN

La nature

Privilégiée par la nature. Leur beauté et la teinte bleu-vert de la mer distinguent les plages du nord de Holguín, d’une région que la nature a privilégiée. C’est dans ces parages que Christophe Colomb débarqua en 1492.

Sur plus de 40 kilomètres de côtes aux caractéristiques exceptionnelles, le littoral nord de la région touristique de Holguín réserve au visiteur 41 plages, parmi lesquelles Guardalavaca et Playa Esmeralda se sont fait une place de choix sur le marché caribéen.

Guardalavaca, dont les paysages sont mis en valeur par une topographie singulièrement ondulée, s’étend sur 700 mètres, et on trouve à proximité divers sites au caractère archéologique et historico-naturel. Les 900 mètres de sable de Playa Esmeralda sont, quant à eux, protégés par des formations coralliennes et comportent des escarpements, des falaises et une abondante végétation.

Playa Pesquero est riche en zones de paysages sous-marins et de pêche, et elle possède des sites privilégiés d’observation tels que La Silla de Gibara et La Mezquita; Don Lino intègre dans une harmonie parfaite les espaces libres, l’architecture et l’environnement, tandis que Playa Blanca se trouve très près de Cayo Bariay, où l’amiral Christophe Colomb foula le sol cubain lors de son historique premier voyage dans ce qu’on appellerait plus tard le Nouveau Monde.

Au nord-est de Holguín se trouve Cayo Saetia, un authentique monument naturel doté de 12 plages; au sud-ouest de la ville, le Parc national La Mensura, à Pinares de Mayarí, souligne un contraste impressionnant entre la végétation de montagne tropicale et les épaisses forêts de pins.

Banes, la capitale archéologique de Cuba, Gibara, appelée la Ville Blanche, et le chef-lieu, Holguín, rehaussent les valeurs touristiques d’une région qui préserve les attraits qui, il y a plus d’un demi-millénaire, émerveillent le Grand Amiral Christophe Colomb.

Voies d’accès:

Des vols directs depuis l’Amérique et l’Europe arrivent à l’aéroport international Frank País, situé à moins de 70 kilomètres des principales zones de développement touristique. Si l’on arrive d’autres régions du pays, on peut emprunter la Route centrale jusqu’au centre de la ville. Par voie maritime, l’arrivée a lieu à la marina Gaviota de Bahía de Naranjo.

 Pour visiter Holguín:

Sur le littoral, les bains de mer, la plongée et d’autres sports nautiques ne sont qu’une des facettes agréables d’un séjour sans aucun doute mémorable. On peut aussi se livrer à des randonnées sur le sentier écotouristique de Las Guanas, visiter le Chorro de Maita, le cimetière aborigène le plus important des Antilles, ou passer un moment agréable et même se baigner avec les dauphins dans le Parc naturel Bahía de Naranjo.

El Cuartelón et La Batería de Fernando VII, à Gibara; le Musée indocubain de Banes, qui garde plus de 20 000 pièces; La Loma de la Cruz, le musée La Periquera, le Centre Culturel Plaza de la Marqueta, tous situés à Holguín -appelée aussi la Ville des Parcs- et la Vallée de Mayabe doivent figurer sur le carnet de route de tout visiteur. Sans oublier toutefois la Cascade d’El Guayabo, qui avec ses plus de 70 mètres est considérée comme l’une des plus belles et des plus impressionnantes de Cuba.

Si le visiteur souhaite découvrir de nouveaux paysages marins, nous lui conseillons de se rendre à la plage Covarrubias, dans la province voisine de Las Tunas (à 35 kilomètres à l’ouest de la ville de Holguín). Longue de quatre kilomètres, elle se caractérise par la blancheur et la finesse de son sable, la transparence de ses eaux et sa végétation typique des écosystèmes côtiers dans cette région nord-est de Cuba qui possède, en outre, de remarquables formations coralliennes.

Le chef-lieu de la province, Las Tunas, est le siège permanent du Festival ibéro-américain du dizain Juan Cristóbal Nápoles Fajardo (El Cucalambé), une des manifestations culturelles par excellence des paysans cubains. Le long de la route qui mène à la plage Covarrubias, on peut voir de vastes plantations de canne à sucre et d’autres particularités de la vie rurale à Cuba

Pour profiter de tous les plaisirs de Holguín:

La discothèque La Roca, à Guardalavaca, et le cabaret Nocturno, à Holguín, sont de bonnes propositions pour les dernières heures de la journée. Une promenade nocturne à travers la ville peut aussi vous conduire au théâtre Eddy Suñol, scène habituelle du Théâtre lyrique provincial, au Rincón del Guayabero, un petit club animé par les chansons un brin grivoises du célèbre auteur local Faustino Oramas, à la discothèque El Pétalo, de l’hôtel El Bosque, ou à Las Brisas del Valle.

Restauration:

Vivement conseillés: El Conuco de Mongo Viña, La Casa Criolla et El Mirador de Mayabe (cuisine cubaine), les restaurants Cayo Naranjo, El Ancla, El Cayuelo et El Faro (poisson et fruits de mer) ainsi que Pizza Nova (cuisine italienne). La Taberna de Pancho, qui sert des plats à base de charcuterie, est l’un des établissements emblématiques de la cuisine locale.